INTRODUCTION
Depuis que je me suis lancée sur mon blog pour parler du sujet : soins et bien-être grâce à l’aromatherapie, qui fait partie de ma formation, de mes connaissances.
- une citation de Socrate vibre en moi : «je sais que je ne sais rien».
Je l’ai mise (citation) sur un piédestal pour ne pas m’accrocher à mes certitudes tant j’ai appris :
« combien le corps et la nature sont liés et riches en apprentissage»
Mes croyances ont été mises à rude épreuve durant cette longue période d’après covid, mais nécessaires.
Mes interrogations m’ont encore appris.
- que rien n’etait acquis
- qu’il faillait continuer à verifier, s’informer, se documenter et partager
- que tout est à découvrir
- et que la science n’explique pas tout.
LE CORPS ET LA SCIENCE
L’ après COVID , phénomène que la science n’est pas en mesure d’expliquer, la démarche serait théoriquement de tout faire pour comprendre.
Cependant aujourd’hui la démarche est inverse, du moins n’est plus fondée sur une démarche raisonnée.
Discours et recherches scientifiques que l’on ne retrouve plus actuellement, tant auprès des supports média, que sur des supports spécifiques. Tout est contreversé, contesté mais pas au profit de la médecine.
La science selon moi a perdu de son essence, de sa réelle fonction,
- elle ne recherche pas les vraies causes du dysfoncionnement du corps.
Dans cette époque d’incertitudes et de changements, je constate de plus en plus de personnes se détourner de ce versant soins dits « modernes », pour retrouver vers la connaissance ancestrale.
Dans les siècles passés, la science était utilisée de manière empirique, c’est à dire elle ne s’appliquait que sur l’expérience, l’observation et non sur une théorie ou un raisonnement.
Cependant avant la chimie avant même la pharmacie il y avait l’herboristerie : » le pouvoir des plantes » (cliquer sur le lien).
Aujourd’hui plus que jamais, nous voyons naître une « naturopathie« (cliquer sur le lien), dans laquelle se mélange connaissances ancestrales et connaissances scientifiques.
C’est pour cela que je vois à quel point nous avons besoin de retrouver notre pouvoir personnel. C’est à dire c